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Le problème de la délinquance provoque depuis des décennies une inflation de discours démagogiques. Nous proposons des actions réfléchies et conjuguées.
Le débat sur l’insécurité oppose rituellement les gouvernants, satisfaits de leur bilan, à ceux, de droite et d’extrême droite, qui annoncent la guerre civile si on ne décide pas une répression maximale. L’ironie de l’histoire est que les adeptes du karcher, MM. Sarkozy, Guéant, Balkany, ont commis maints actes délictueux qui les ont conduits devant les juges et parfois en prison tandis que les dealers continuent de prospérer.
La politique de sécurité publique doit viser toutes les formes de délinquances – qu’il s’agisse de la délinquance de rue, de la cybercriminalité ou de la délinquance financière. La répression est nécessaire mais il faut réintégrer dans la société une jeunesse en déshérence, par l’apprentissage et par un service national de résilience. Lire l'article d’Éric Cézembre dans le n°1228 de Royaliste
