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■ Quelques aumônes, trop de sacrifices. - Pendant quatre décennies, les gouvernements de droite et de gauche ont demandé aux classes moyennes et populaires de se sacrifier pour restaurer la compétitivité des entreprises, rembourser la dette publique, honorer les engagements pris à Bruxelles et Berlin. La contrainte salariale qui leur a été imposée n’a pas évité la perte de puissance industrielle et le poids de la dette publique n’a jamais été aussi élevé. Mais la classe des riches et des super-riches ne s’est jamais aussi bien portée.
La NAR considère que les grèves qui éclatent dans notre pays sont justifiées. Les salariés n’ont pas à payer les erreurs et les fautes des gestionnaires du néolibéralisme.